
10 erreurs à éviter quand on écrit sa vie
Vous avez très envie d'écrire votre histoire, ou celle d'un proche ? C'est un projet merveilleux… mais qui peut vite paraître impressionnant. Entre la peur de mal faire, le manque de temps ou l'envie de trop bien faire, beaucoup finissent par repousser, voire abandonner.
Voici 10 erreurs qu'on voit souvent — et surtout comment les contourner, avec bienveillance et sérénité.
1. Attendre le bon moment
"Je commencerai quand j'aurai plus de temps… quand je serai en retraite… quand ce sera plus calme…" Le bon moment n'existe pas. Ou plutôt : c'est aujourd'hui.
Même si ce n'est que 10 minutes par semaine, même si vous écrivez sur votre téléphone, dans un carnet griffonné ou à la volée entre deux rendez-vous. Le plus dur, c'est souvent de commencer. Après, on y prend goût.
2. Chercher la perfection dès le départ
On se dit qu'on n'écrit pas "assez bien", que ce n'est pas digne d'un livre. Mais ici, ce n'est pas un concours littéraire : c'est votre histoire. Vos mots, vos souvenirs, vos tournures, vos silences parfois. C'est ce ton authentique qui touchera vos proches.
Personne n'attend une prose parfaite. Ce qu'on attend, c'est votre vécu, votre émotion, vos souvenirs tels qu'ils sont.
3. Penser que tout le monde comprendra
Quand on raconte, on pense que tout est clair. Mais pour ceux qui n'ont pas vécu l'époque, ou qui ne connaissent pas les personnes, certains détails méritent un petit contexte : une date, une explication, une référence.
Imaginez que ce livre soit lu par vos petits-enfants dans 30 ans. Il faut leur donner les clés pour comprendre ce que vous avez traversé.
4. Se fier uniquement à sa mémoire
Notre mémoire est fabuleuse… mais elle s'efface parfois. Pensez à ressortir des photos, des cartes postales, des objets, ou à appeler quelqu'un de la famille. Un simple détail peut raviver une scène entière.
Et surtout : notez tout ce qui vous revient, même si ça semble anecdotique. Ce sont souvent les petits riens qui font les plus jolis souvenirs.
5. Ne pas savoir par où commencer
Ça peut bloquer. Chronologique ? Thématique ? Aléatoire ? Il n'y a pas UNE bonne façon de faire, mais avoir un fil conducteur aide.
Chez Bavardises, on propose un guidage pas à pas, adapté à votre histoire. Vous n'êtes jamais seul·e devant la page blanche.
6. Se comparer aux autres
"Regarde comme elle écrit bien !" ou "Son livre est tellement mieux que le mien". STOP. Ce n'est pas un concours.
Votre histoire est unique. Vos mots sont justes. Et surtout : vos proches seront touchés parce que c'est vous. Pas parce que c'est parfait.
7. Vouloir tout faire seul(e)
Oui, on peut écrire seul. Mais parfois, un regard extérieur fait du bien : pour structurer, pour valider, pour relancer.
Chez Bavardises, on vous relit, on vous aide à mettre en page, à imprimer. On est là pour valoriser ce que vous avez pris le temps de raconter.
8. Sous-estimer l’importance de la mise en page
Vous avez passé du temps à écrire. Ne lâchez pas sur la dernière ligne droite. Un texte bien mis en page, sur un joli papier, avec vos photos… devient un véritable objet d’émotion.
On a souvent des clients qui nous disent : "Je n'avais pas imaginé à quel point ça rendrait bien en livre". Et pourtant…
9. Éparpiller son projet
Un carnet, un fichier Word, un enregistrement vocal, un mail... Au bout d'un moment, on ne sait plus où on en est.
Centraliser votre projet (comme sur notre plateforme), ça permet d'avancer sereinement, de retrouver ses notes, et de ne rien perdre.
10. Oublier de se féliciter
Chaque paragraphe écrit, c’est une miette de mémoire en plus. Prenez le temps de vous dire bravo. Vous venez de poser une pierre précieuse dans votre histoire familiale.
Nous serions ravis de discuter de votre projet avec vous.